Avec le développement rapide des actifs cryptés tels que le Bitcoin et l'Ethereum à l'échelle mondiale, les autorités fiscales de divers pays incluent progressivement "l'argent virtuel" dans le champ de la fiscalité. Cela est dû au fait que l'argent virtuel est considéré comme des actifs (comme l'IRS américain) ou des biens (comme l'Agence nationale des impôts du Japon) par nature, et que ses transactions, conversions ou détentions peuvent entraîner des activités imposables.
Le but principal de la taxation est, d'une part, de prévenir les échappatoires à l'évasion fiscale, et d'autre part, de réguler l'ordre du marché et de protéger les investisseurs ordinaires.
Les politiques fiscales sur la monnaie virtuelle varient considérablement d'un pays à l'autre. Voici les approches adoptées par plusieurs pays représentatifs :
Selon des informations publiques d'ABMedia et du ministère des Finances, bien que Taïwan n'ait pas établi de "loi fiscale dédiée à la monnaie virtuelle", le Bureau national de la fiscalité l'a clairement inclus dans le système fiscal existant et a commencé à auditer et à percevoir des impôts rétroactifs :
En d'autres termes, bien que Taïwan soit actuellement soumis à une "taxation indirecte", il est entré dans la phase de contrôle et de collecte substantielle. Les investisseurs devraient se préparer tôt et déclarer activement.
D'un point de vue pratique, les activités imposables impliquant plusieurs types de monnaie virtuelle que les investisseurs ordinaires rencontrent le plus souvent incluent :
Le processus de déclaration fiscale semble compliqué, mais l'essentiel réside dans la tenue de dossiers précis et la déclaration en temps opportun :
Dans le reporting fiscal des monnaies virtuelles, les investisseurs tombent souvent dans les idées fausses suivantes :
Bien que la taxation de l'argent virtuel soit encore à un stade exploratoire, il est consensuel qu'elle deviendra plus stricte à l'avenir. En tant qu'investisseur, on ne devrait pas avoir une mentalité de prise de risques. Les dossiers de conformité et le paiement des impôts conformément à la loi aident non seulement à éviter les risques juridiques, mais apportent également une santé financière à long terme. Suggestions:
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Avec le développement rapide des actifs cryptés tels que le Bitcoin et l'Ethereum à l'échelle mondiale, les autorités fiscales de divers pays incluent progressivement "l'argent virtuel" dans le champ de la fiscalité. Cela est dû au fait que l'argent virtuel est considéré comme des actifs (comme l'IRS américain) ou des biens (comme l'Agence nationale des impôts du Japon) par nature, et que ses transactions, conversions ou détentions peuvent entraîner des activités imposables.
Le but principal de la taxation est, d'une part, de prévenir les échappatoires à l'évasion fiscale, et d'autre part, de réguler l'ordre du marché et de protéger les investisseurs ordinaires.
Les politiques fiscales sur la monnaie virtuelle varient considérablement d'un pays à l'autre. Voici les approches adoptées par plusieurs pays représentatifs :
Selon des informations publiques d'ABMedia et du ministère des Finances, bien que Taïwan n'ait pas établi de "loi fiscale dédiée à la monnaie virtuelle", le Bureau national de la fiscalité l'a clairement inclus dans le système fiscal existant et a commencé à auditer et à percevoir des impôts rétroactifs :
En d'autres termes, bien que Taïwan soit actuellement soumis à une "taxation indirecte", il est entré dans la phase de contrôle et de collecte substantielle. Les investisseurs devraient se préparer tôt et déclarer activement.
D'un point de vue pratique, les activités imposables impliquant plusieurs types de monnaie virtuelle que les investisseurs ordinaires rencontrent le plus souvent incluent :
Le processus de déclaration fiscale semble compliqué, mais l'essentiel réside dans la tenue de dossiers précis et la déclaration en temps opportun :
Dans le reporting fiscal des monnaies virtuelles, les investisseurs tombent souvent dans les idées fausses suivantes :
Bien que la taxation de l'argent virtuel soit encore à un stade exploratoire, il est consensuel qu'elle deviendra plus stricte à l'avenir. En tant qu'investisseur, on ne devrait pas avoir une mentalité de prise de risques. Les dossiers de conformité et le paiement des impôts conformément à la loi aident non seulement à éviter les risques juridiques, mais apportent également une santé financière à long terme. Suggestions: