Les analystes de Messari ont découvert que le rachat ne peut pas empêcher la chute significative des prix des tokens.
DeFi MONK a analysé plus en détail les données de rachat et la performance des prix de RAY, GMX, GNS et SNX. RAY, GMX, GNS et SNX ont racheté des millions de jetons par le biais de programmes, alors que la valeur actuelle de ces jetons est bien inférieure à celle au moment du rachat.
DeFi MONK a ensuite analysé le paradoxe inhérent aux tokens qu'on ne peut pas empêcher :
Le prix n'est pas lié au rachat, il est déterminé par la croissance des revenus et le récit.
Lorsque les revenus sont solides et que les prix sont bons, le projet dépense finalement plus de réserves de liquidités pour racheter des jetons à un prix défavorable.
Lorsque les prix et les revenus sont très mauvais et qu'il faut des liquidités pour investir dans l'innovation et la réorganisation, les porteurs de projet manquent de capital excédentaire pour le faire. Pire encore, les porteurs de projet subissent d'énormes pertes non réalisées, car la valeur nette des actifs rachetés est maintenant bien inférieure au coût.
Le rachat est une mauvaise allocation de capital. L'état d'esprit devrait être de réaliser la croissance à tout prix, ou de distribuer une valeur réelle aux détenteurs sous une forme stable/principale (voir veAERO ou BananaGun).
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Messari : Pourquoi le rachat ne peut-il pas empêcher la chute importante du prix des jetons
Rédigé par : AIMan@Golden Finance
Les analystes de Messari ont découvert que le rachat ne peut pas empêcher la chute significative des prix des tokens.
DeFi MONK a analysé plus en détail les données de rachat et la performance des prix de RAY, GMX, GNS et SNX. RAY, GMX, GNS et SNX ont racheté des millions de jetons par le biais de programmes, alors que la valeur actuelle de ces jetons est bien inférieure à celle au moment du rachat.
DeFi MONK a ensuite analysé le paradoxe inhérent aux tokens qu'on ne peut pas empêcher :
Le prix n'est pas lié au rachat, il est déterminé par la croissance des revenus et le récit.
Lorsque les revenus sont solides et que les prix sont bons, le projet dépense finalement plus de réserves de liquidités pour racheter des jetons à un prix défavorable.
Lorsque les prix et les revenus sont très mauvais et qu'il faut des liquidités pour investir dans l'innovation et la réorganisation, les porteurs de projet manquent de capital excédentaire pour le faire. Pire encore, les porteurs de projet subissent d'énormes pertes non réalisées, car la valeur nette des actifs rachetés est maintenant bien inférieure au coût.
Le rachat est une mauvaise allocation de capital. L'état d'esprit devrait être de réaliser la croissance à tout prix, ou de distribuer une valeur réelle aux détenteurs sous une forme stable/principale (voir veAERO ou BananaGun).